SUD
SOLIDAIRES, UNITAIRES, DÉMOCRATIQUES
Avec plus de 100 000 adhérent-e-s, dont un tiers dans le secteur privé, l’Union syndicale Solidaires est aujourd’hui un acteur majeur du champ syndical hexagonal. SUD éducation est son syndicat dans notre secteur professionnel, de la Maternelle à l’Université. Nous syndiquons TOUS les personnels, quelle que soit leur catégorie, quel que soit leur statut, précaires ou titulaires, dans un seul et MÊME syndicat : parce que nos intérêts sont les MÊMES !
Rejoignez-nous : sud.univ.orleans@gmail.com
Avec plus de 100 000 adhérent-e-s, dont un tiers dans le secteur privé, l’Union syndicale Solidaires est aujourd’hui un acteur majeur du champ syndical hexagonal. SUD éducation est son syndicat dans notre secteur professionnel, de la Maternelle à l’Université. Nous syndiquons TOUS les personnels, quelle que soit leur catégorie, quel que soit leur statut, précaires ou titulaires, dans un seul et MÊME syndicat : parce que nos intérêts sont les MÊMES !
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lundi 17 octobre 2022
18 octobre : on entre dans la grève
Les prix explosent et les salaires ne suivent pas. Dans notre secteur, l’augmentation de 3,5% du point d’indice non seulement ne rattrape pas le gel des salaires depuis 2010 mais est déjà largement dévorée par l’inflation. Les personnels ont de plus en plus de difficultés à se loger, se nourrir, se chauffer et se déplacer. Le ministère refuse de revaloriser les bas salaires des personnels AESH et AED.
Les grèves pour les salaires sont nombreuses. Dans les raffineries, la lutte dure depuis plusieurs semaines, elle est pleinement légitime. Le patronat, par son intransigeance, en porte l’entière responsabilité. Face aux conséquences de la grève, et parce qu’il a peur de l’extension des mobilisations, le gouvernement a annoncé vouloir réquisitionner les grévistes. C’est une atteinte intolérable au droit constitutionnel de grève.
Macron s’entête par ailleurs à vouloir casser nos retraites. Pour les personnels, un report de l’âge de départ en retraite est inenvisageable et inacceptable. D’autres solutions sont possibles, à commencer par la taxation des profits des capitalistes.
SUD éducation revendique la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités, sans décote, la revalorisation des pensions et leur indexation sur les salaires.
La situation sociale exige une riposte déterminée, chacun·e de nous est concerné·e. C’est pour cela que SUD éducation avec son Union syndicale Solidaires ont pris la responsabilité d’appeler à la grève l’ensemble des salarié·es et des personnels le mardi 18 octobre.
Salaires, retraites : le contexte social est explosif. Face à la grève dans les raffineries, le gouvernement joue la carte de l’épreuve de force. Il s’agit maintenant d’étendre la grève à tous les secteurs, à commencer par le nôtre : dans l’éducation aussi, battons-nous pour nos salaires ! Et comme ce jour-là est prévue une grève pour la défense des lycées professionnels, faisons d’une pierre deux coups : le 18 octobre, on entre toutes et tous dans la grève !
Le 18 octobre, c’est aussi la grève dans la Voie professionnelle !
C’est l’ensemble des syndicats de la voie professionnelle qui appelle à la grève le 18 octobre. Pourquoi ? Macron en personne a annoncé augmenter les périodes de stage en entreprise pour les élèves de Lycées professionnels de 50 % à la rentrée 2023. Ce qui signifie : des suppressions massives de postes enseignants, des reconversions forcées, la disparition de centaines d’heures de cours pour les élèves Le tout pour assouvir les « besoins immédiats » des entreprises.
Tant pis pour l’éducation !
La réforme s’appliquerait localement, établissement par établissement : c’est la fin des horaires disciplinaires identiques partout. Tant pis pour l’égalité ! Cette application locale est le Cheval de Troie du gouvernement pour démembrer le service public d’éducation, dans les lycées professionnels comme partout ailleurs.
Le 18 octobre, toutes et tous en grève !
SUD éducation appelle l’ensemble des personnels à se réunir dès maintenant en assemblée générale et à converger dans l’action et dans la grève le mardi 18 octobre.
lundi 8 mars 2021
Le 8 mars est la journée internationale de lutte des femmes depuis 1910
En 2021, la lutte
contre les inégalités hommes-femmes et pour les droits des femmes est
toujours nécessaire. Les violences sexistes et sexuelles, les
stéréotypes de genre, les inégalités professionnelles – notamment
salariales – sont toujours à combattre et concernent toute la société,
tous les milieux et tous les âges.
Pour lutter contre ces inégalités dans le monde du travail, les femmes se sont emparées à maintes reprises de l’arme par excellence des travailleuses : la grève !
Depuis plusieurs années, l’Union syndicale Solidaires appelle les femmes à utiliser ce levier de mobilisation le 8 mars, partout où c’est possible. Dans l’Éducation nationale, les raisons pour les femmes de faire grève ne manquent pas.
À l’heure actuelle, en France, une femme est assassinée tous les deux jours et demi par son conjoint ou partenaire. 80% des tâches domestiques sont effectuées par des femmes. Les différences de salaires entre hommes et femmes sont telles qu’à partir de 15h40, les femmes travaillent gratuitement. Nous dénonçons la féminisation de la pauvreté.
Pour lutter contre ces inégalités dans le monde du travail, les femmes se sont emparées à maintes reprises de l’arme par excellence des travailleuses : la grève !
Depuis plusieurs années, l’Union syndicale Solidaires appelle les femmes à utiliser ce levier de mobilisation le 8 mars, partout où c’est possible. Dans l’Éducation nationale, les raisons pour les femmes de faire grève ne manquent pas.
À l’heure actuelle, en France, une femme est assassinée tous les deux jours et demi par son conjoint ou partenaire. 80% des tâches domestiques sont effectuées par des femmes. Les différences de salaires entre hommes et femmes sont telles qu’à partir de 15h40, les femmes travaillent gratuitement. Nous dénonçons la féminisation de la pauvreté.
En 2021, la lutte
contre les inégalités hommes-femmes et pour les droits des femmes est
toujours nécessaire. Les violences sexistes et sexuelles, les
stéréotypes de genre, les inégalités professionnelles – notamment
salariales – sont toujours à combattre et concernent toute la société,
tous les milieux et tous les âges.
mercredi 24 juin 2020
Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche
LPPR : la remobilisation, c’est maintenant !
A la suite de la convocation en rafale des différentes instances de « dialogue social », les organisations syndicales ont découvert avec stupéfaction que le gouvernement comptait accélérer le calendrier de la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR). SUD éducation dénonce la tentative de passage en force du Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation (MESRI) et appelle l’ensemble des personnels à se mobiliser dès maintenant pour faire échec à ce projet de loi inégalitaire et darwinienne.
5 Milliards d’€ pour la recherche… Ce n’est même pas le minimum !
Tract commun Sud Recherche EPST - Sud Education
Communiqué :
SUD éducation dénonce l’indignité d’un Ministère qui tente de mettre à profit les effets de la crise sanitaire pour imposer son projet largement rejeté, et appelle l’ensemble des personnels :
à s’organiser collectivement et à passer à l’action pour mettre en échec ce pouvoir cynique et opportuniste ;
à se réunir entre collègues, selon les modalités possibles, au niveau
des services, labos, départements, composantes, établissements, sites
universitaires ;
à déterminer ensemble des modalités d’action
qui permettront de créer un rapport de force : motions, pétitions,
grève, retenue des notes, non-tenue des jurys, refus de préparer la
rentrée universitaire, etc.
A la suite de la convocation en rafale des différentes instances de « dialogue social », les organisations syndicales ont découvert avec stupéfaction que le gouvernement comptait accélérer le calendrier de la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR). SUD éducation dénonce la tentative de passage en force du Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation (MESRI) et appelle l’ensemble des personnels à se mobiliser dès maintenant pour faire échec à ce projet de loi inégalitaire et darwinienne.
5 Milliards d’€ pour la recherche… Ce n’est même pas le minimum !
Tract commun Sud Recherche EPST - Sud Education
Exigeons le retrait du projet de Loi de programmation pluriannuelle de la recherche
communiqué intersyndical CGT, FSU, SOLIDAIRES, FO ESR, UNEF, l’Alternative
SUD Recherche EPST - SUD éducation boycottent le CNESER du 12 juin 2020Communiqué :
SUD éducation dénonce l’indignité d’un Ministère qui tente de mettre à profit les effets de la crise sanitaire pour imposer son projet largement rejeté, et appelle l’ensemble des personnels :
lundi 15 juin 2020
Le 16 juin, l'intersyndicale du Loiret appelle à une grande journée de grève et de manifestation pour la défense de la santé publique
Toutes et tous en grève et
en manif le 16 juin !
Du balcon à la rue, transformons les applaudissements en actions, toutes et tous ensemble, soignant.e.s soigné.e.s pour un système de santé et de protection sociale digne et de qualité
Orléans: manifestation à La Source. Départ de l'Indien à 10h30, arrivée sur le parvis du CHRO
Pithiviers : devant l’hôpital 10h00 (cortège en voiture)
Montargis : 13h00, place du Patis (cortège en voitures)
https://www.sudeducation.org/Le-16-juin-avec-la-sante-pour-nos-services-publics-et-pour-nos-droits.html
Du balcon à la rue, transformons les applaudissements en actions, toutes et tous ensemble, soignant.e.s soigné.e.s pour un système de santé et de protection sociale digne et de qualité
Depuis des années nous dénonçons les politiques de santé publique, d’action sociale mais
aussi la casse du système de la sécurité sociale qui les accompagnent.
Malgré les très nombreuses mobilisations pour dénoncer la casse de notre système de santé, le gouvernement garde le cap et accélère : suppression massive de lits, de services, d’hôpitaux de proximité et privatisation du système de santé !
Le Ségur de la santé, à l’image du grand débat qui a fait suite au mouvement des gilets jaunes, est une nouvelle entourloupe du gouvernement pour étou'er la colère, et accouchera d’une souris.
Alors que nous exigeons de lui : la relocalisation et nationalisation des industries pharmaceutiques, l’augmentation de la prise en charge hospitalière, la mise ne place d’un service public de la santé et d’action sociale répondant aux besoins des populations.
Des millions ont été trouvé aux fils des crises pour sauver les banques, la finance et les dividendes des actionnaires, mais rien, à part l’austérité pour les services publics !
Alors que la France comptabilise plus de 29 000 morts du coronavirus, que des malades n’ont pas eu accès aux soins par manque de moyen dans les hôpitaux, que des salariés ont été contaminés par manque de protections adéquates et su.santes, le gouvernement fait le choix de la reprise économique comme si rien ne c’était passé. Nous ne pouvons pas accepter cela !
Nous nous adressons également à tou.tes celles et ceux qui n’ont pas arrêté de travailler pendant le confinement : pompiers, médico-social, caissièr.es, éboueur/euses, personnels de ménage, électricien/nes, gaziers, postier.e.s, enseignant.es, précaires.. qui n’ont cessé de travailler sans aucune protection pour nous tout.es. Il est temps de tout.es nous réunir et d’exprimer notre colère pour un changement de société, tout ne peut pas recommencer comme avant :
Les organisations syndicales de la santé CGT Santé, FO santé, sapeurs-pompiers d‘Orléans Centre, Sud Santé Sociaux, soutenues plus que jamais dans leurs luttes par les syndicats interprofessionnels : UD CGT,FSU, Solidaires Loiret appellent l’ensemble de la population à descendre dans la rue pour réclamer :
aussi la casse du système de la sécurité sociale qui les accompagnent.
Malgré les très nombreuses mobilisations pour dénoncer la casse de notre système de santé, le gouvernement garde le cap et accélère : suppression massive de lits, de services, d’hôpitaux de proximité et privatisation du système de santé !
Le Ségur de la santé, à l’image du grand débat qui a fait suite au mouvement des gilets jaunes, est une nouvelle entourloupe du gouvernement pour étou'er la colère, et accouchera d’une souris.
Alors que nous exigeons de lui : la relocalisation et nationalisation des industries pharmaceutiques, l’augmentation de la prise en charge hospitalière, la mise ne place d’un service public de la santé et d’action sociale répondant aux besoins des populations.
Des millions ont été trouvé aux fils des crises pour sauver les banques, la finance et les dividendes des actionnaires, mais rien, à part l’austérité pour les services publics !
Alors que la France comptabilise plus de 29 000 morts du coronavirus, que des malades n’ont pas eu accès aux soins par manque de moyen dans les hôpitaux, que des salariés ont été contaminés par manque de protections adéquates et su.santes, le gouvernement fait le choix de la reprise économique comme si rien ne c’était passé. Nous ne pouvons pas accepter cela !
Nous nous adressons également à tou.tes celles et ceux qui n’ont pas arrêté de travailler pendant le confinement : pompiers, médico-social, caissièr.es, éboueur/euses, personnels de ménage, électricien/nes, gaziers, postier.e.s, enseignant.es, précaires.. qui n’ont cessé de travailler sans aucune protection pour nous tout.es. Il est temps de tout.es nous réunir et d’exprimer notre colère pour un changement de société, tout ne peut pas recommencer comme avant :
Les organisations syndicales de la santé CGT Santé, FO santé, sapeurs-pompiers d‘Orléans Centre, Sud Santé Sociaux, soutenues plus que jamais dans leurs luttes par les syndicats interprofessionnels : UD CGT,FSU, Solidaires Loiret appellent l’ensemble de la population à descendre dans la rue pour réclamer :
Une augmentation immédiate de 300 € net mensuel pour toutes et tous,
L’arrêt de la restructurations des fermetures de lits, de services pour répondre aux besoins de la population,
L’abandon de la tarification de l’activité, l’augmentation des budgets des établissements, L’augmentation du point d’indice dans la fonction publique,
Plus d’effectifs dans les services publics et de meilleurs conditions de travail pour toutes et tous dans tous les secteurs,
Pour la défense et la consolidation de notre protection sociale, L’abrogation définitive de la dernière « réforme » de la retraite et de l’assurance chômage
Orléans: manifestation à La Source. Départ de l'Indien à 10h30, arrivée sur le parvis du CHRO
Pithiviers : devant l’hôpital 10h00 (cortège en voiture)
Montargis : 13h00, place du Patis (cortège en voitures)
https://www.sudeducation.org/Le-16-juin-avec-la-sante-pour-nos-services-publics-et-pour-nos-droits.html
jeudi 16 avril 2020
De nouveaux congés imposés pour les personnels BIATSS?
Un projet d'ordonnance relative aux congés dans la FP et la FPT qui pourrait être publié aujourd'hui suite au Conseil des ministres. Cela va faire mal pour les personnels BIATSS si ces ordonnances sont appliquées.
Du coup la FAQ spécial Covid de notre université semble partiellement caduque (cf. point 8):
http://www.univ-orleans.fr/fr/univ/universite/information-covid-19/vous-etes-personnel/faq-et-contact
"Que vous ayez recours au travail à distance ou à une autorisation exceptionnelle d’absence, il n’y a aucun impact sur le déroulement de votre carrière (calcul de l’ancienneté, droits à l’avancement, droits à pension, …), sur le maintien de votre droit à rémunération, et sur vos droits à congés annuels, dans le cadre des dispositions réglementaires applicables."
https://solidaires.org/COVID-19-conference-telephonee-du-14-avril-2020-avec-le-secretaire-d-Etat
mardi 14 avril 2020
Coronavirus : NON aux pressions hiérarchiques à rester sur le lieu de travail sans protection !
Depuis le début du confinement, des personnels techniques et ouvriers
ont été sommés de rester sur leur lieu de travail pour assurer
l’entretien des bâtiments du CROUS où les étudiant-e-s n’ont pas pu ou
voulu rejoindre le domicile parental ; comme c’est aussi le cas pour les
écoles encore ouvertes accueillant les enfants des personnels
soignants.
Ces personnels sont en première ligne face au virus.
Les personnels d’entretien doivent avoir à leur disposition des masques, des gants, des gels désinfectants, des serviettes jetables et suffisamment de pauses pour se laver les mains régulièrement. Sans ces conditions, SUD éducation soutiendra toutes celles et ceux qui feraient usages de leur droit de retrait.
https://www.sudeducation.org/Coronavirus-NON-aux-pressions-hierarchiques-a-rester-sur-le-lieu-de-travail.html
Ces personnels sont en première ligne face au virus.
Les personnels d’entretien doivent avoir à leur disposition des masques, des gants, des gels désinfectants, des serviettes jetables et suffisamment de pauses pour se laver les mains régulièrement. Sans ces conditions, SUD éducation soutiendra toutes celles et ceux qui feraient usages de leur droit de retrait.
https://www.sudeducation.org/Coronavirus-NON-aux-pressions-hierarchiques-a-rester-sur-le-lieu-de-travail.html
Keep calm... and cancel the exams !
Nous traversons une crise sanitaire mondiale sans précédent, dont il est
encore difficile de mesurer les conséquences. Une grande partie de la
société vit "confinée", essayant tant bien que mal d’organiser ses
activités essentielles, de soutenir des proches ou de la famille en
difficulté. Ce confinement, de degré divers, est amené à durer sans doute encore plusieurs
semaines.
Dans l’enseignement supérieur, la fédération SUD éducation s’oppose à
toutes les évaluations à distance. Ces dernières exacerbent les
inégalités sociales et géographiques (notamment en termes de moyens
matériels et de connexion à Internet) et donc n’assurent aucune égalité
entre les étudiant-e-s. De plus, ces évaluations à distance ouvrent la
voie, selon les recommandations ministérielles, à une surveillance par
webcam des étudiant-e-s, faisant peser des risques de surveillance
généralisée. La fédération SUD éducation soutient toutes les initiatives
dans l’enseignement supérieur actant l’impossibilité de tenir les
évaluations en raison de l’urgence sanitaire : annulation,
neutralisation, validation automatique, etc. Le report des examens ne
peut pas être une solution, ne serait-ce qu’en raison de la durée encore
indéterminée du risque sanitaire.
Nous appelons les différentes instances compétentes de l’Université, ainsi que nos collègues, à privilégier l’intérêt général plutôt que des contraintes de court terme, en prenant la décision de ne pas organiser d’examens pour ce second semestre ni en présentiel, cela va désormais de soi, ni à distance.
Nous appelons les différentes instances compétentes de l’Université, ainsi que nos collègues, à privilégier l’intérêt général plutôt que des contraintes de court terme, en prenant la décision de ne pas organiser d’examens pour ce second semestre ni en présentiel, cela va désormais de soi, ni à distance.
Non aux évaluations à distance dans l’enseignement supérieur !
https://www.sudeducation.org/Non-aux-evaluations-a-distance-dans-l-enseignement-superieur.html
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