SUD

SOLIDAIRES, UNITAIRES, DÉMOCRATIQUES
Avec plus de 100 000 adhérent-e-s, dont un tiers dans le secteur privé, l’Union syndicale Solidaires est aujourd’hui un acteur majeur du champ syndical hexagonal. SUD éducation est son syndicat dans notre secteur professionnel, de la Maternelle à l’Université. Nous syndiquons TOUS les personnels, quelle que soit leur catégorie, quel que soit leur statut, précaires ou titulaires, dans un seul et MÊME syndicat : parce que nos intérêts sont les MÊMES !
Rejoignez-nous : sud.univ.orleans@gmail.com

jeudi 28 mars 2013

Orléans : la démocratie étudiante en berne. SUDe Orls 27/3/13

Lettre ouverte au président de l’Université
Les dernières élections étudiantes ont encore battu un record d’abstention. Alors que doit s’ouvrir l’Assemblée des élu-e-s étudiant-e-s, SUD-Solidaires Etudiant-e-s dresse un constat sombre sur l’état de la démocratie à l’Université d’Orléans.
Le résultat de l’élection des représentants étudiants au PRES a été publié cette semaine. La participation s’élève à 1,86%*, soit un taux d’abstention de plus de 98% ! En terme de participation, cette élection a ainsi réussi à faire pire que les élections aux conseils de gestion des UFR LLSH et DEG du 29 janvier dernier. Pourtant, avec une participation tournant entre 3,80 et 6% selon les collèges (exception faite du collège d’économie qui avec 7,80 % battait des records de civisme), les élections du 29 janvier avait déjà placé la barre très haut en terme de nullité démocratique ! Lire la suite ICI

Le burn out des profs de langue - SUD Educ 22/3/13

Tu es prof de langues ?
On va te reprocher…
…ton salaire, tes vacances, et même la chance que tu as d’organiser des voyages scolaires à Londres, Berlin ou Madrid en 15 heures de bus avec 50 ados excité-es, sur lesquels tu vas veiller 24h/24,… en payant ta part !
Mais, heureusement, la tendance va s’inverser…
…puisque une grande réforme de l’enseignement des langues en « cycle terminal » a été décrétée par le gouvernement précédent (27/01/2010) et entérinée par l’actuel.

Pétition contre un projet de loi ESR toujours inacceptable

Pétition à l'appel des organisations : FSU (SNESUP, SNCS, SNEP, SNASUB, SNETAP) – CGT (SNTRS, FERC-Sup, CGT INRA) – Solidaires (Sud Education, Sud Recherche EPST, Solidaires Etudiant.e.s) – SNPREES-FO – SLU – SLR – Collectif Aquitain des Contractuels de la Recherche – Collectif contre la précarité Pouchet/CNRS – Collectif contre la précarité INED – Collectif contre la précarité Paris 1 – Collectif contre la précarité EHESS Paris


Contact : contact@LoiESRtoujoursInacceptable.org
Version pdf pour impression et signatures sur papier
Attendu :
  • Qu'au moment où les difficultés budgétaires de nombreuses universités et organismes continuent de générer suppressions et gels d’emplois de titulaires, annulations d’enseignements ou dégradation des conditions de travail et d’études et où la précarité ne cesse d’augmenter, le gouvernement a engagé la procédure de présentation du projet de loi sur l’ESR à l’Assemblée Nationale, avec examen en procédure d’urgence ;

Réunion d'information le 4 avril 12h30, amphi Genevoix

MàJ 2/4/13 : RDV amphi Genevoix (et non Amphi J. Zay)
Quelle loi demain pour l'Enseignement Supérieur et la Recherche ?
Organisateurs : SNASUB Orléans, SNESUP Orléans, SUD Éducation Orléans, SUD-Solidaires Étudiants Orléans, UNEF Orléans.
Le projet de loi sur l'Enseignement Supérieur et la Recherche sera présenté fin mars au conseil des Ministres. Le connaissez-vous ?
Le résultat des consultations des différentes instances est éloquent. Le Conseil Supérieur de l'Éducation a  majoritairement voté contre la version du 8 février du projet de loi. La Ministre ne peut se prévaloir d'un vote favorable du CNESER. Après avoir voté contre le texte intégrant la totalité des amendements avant arbitrages ministériels, celui-ci, n’a émis aucun avis (20 Pour, 20 Contre, 8 Abstentions et 4 NPPV) sur le projet amendé in-extremis par la ministre.
Les difficultés budgétaires de nombreuses universités et organismes continuent d’amener :
* suppressions et gels d’emplois de titulaires,
* réduction des heures d’enseignement,
* dégradation des conditions de travail et d’études,
* accroissement de la précarité, etc.

Budget des universités. Position de la CPU - 21 mars 2013

La Conférence des Présidents d’Université, consciente de la crise économique, budgétaire et financière grave qui affecte l’Europe, apprécie l’effort du gouvernement de doter les établissements d’enseignement supérieur (Universités et Écoles d’ingénieurs) de 5.000 postes en 5 ans, soit environ 1.000 postes par an. Cette dotation s’inscrit dans la demande de la CPU que soit prise en compte la situation des universités qui, depuis plusieurs années, sont dans une situation de sous-encadrement notoire, associée le plus souvent à une sous-dotation financière.
En revanche, la notification des dotations aux établissements, effectuée en ce début du mois de mars 2013, suscite de fortes inquiétudes dans notre communauté au regard des engagements politiques affichés.

dimanche 3 mars 2013

CLES et C2I2E : un sursis pour les stagiaires (22/2/13)

Communiqué de la fédération SUD éducation
Après deux longs trimestres d’assemblées de stagiaires, d’interpellations constantes des syndicats et de sourde oreille des rectorats, le ministère donne enfin suite aux vagues promesses faites en réponse aux difficultés des stagiaires déjà surchargés de travail.
Lors du comité technique ministériel du mardi 19 février, la directrice générale des ressources humaines de l’Education Nationale a annoncé aux organisations représentatives que le CLES et le C2I2E ne seront officiellement pas nécessaires à la titularisation des professeurs stagiaires.

Manif. ANI 5 Mars 2013 : matériel Solidaires

Patronat, CFDT, CFTC et CGC viennent de valider un accord national interprofessionnel aux conséquences négatives très importantes pour les salarié-es. Le gouvernement s’est empressé d’afficher son soutien à ces nouveaux gains pour le patronat, à cette nouvelle régression sociale pour les travailleurs et les travailleuses. C’est un mauvais coup pour les salarié-es, mais la partie n’est pas terminée. Le texte de l’accord sera transposé en projet de loi, débattu au Parlement puis soumis au vote. Il reste donc quelques semaines pour que toutes les forces syndicales opposées à la casse du Code du travail s’unissent et bloquent les appétits patronaux. L’Union syndicale Solidaires agit dans ce sens, dans les entreprises comme au plan national. 
RDV Loiret : 
ORLEANS - 10 h 30 - Départ parvis de la cathédrale
MONTARGIS - 10 h 30 - Départ Place du Patis
GIEN - 10 h 30 - Départ Place de la Victoire 
Matériel Solidaires ICI

Manif. ANI du 5 Mars 2013 : Pourquoi? Où dans le Loiret

Non à l’accord sur l’insécurisation de l’emploi. Le patronat ne doit pas faire la loi !
Medef, CFDT, CFTC et CGC viennent de signer un accord national interprofessionnel (ANI) qui entérine de très graves régressions juridiques et sociales pour les salarié-e-s. Le gouvernement s’est empressé d’afficher son soutien à ces nouveaux gains pour le patronat en déclarant vouloir une transcription fidèle de ces accords dans la loi. C’est un très mauvais coup pour l'ensemble des travailleurs-euses mais la partie n’est pas terminée. Le texte de l’accord transposé en projet de loi est débattu au Parlement à partir du 6 mars puis soumis au vote en procédure d'urgence. Il reste donc quelques semaines pour que toutes les forces syndicales opposées à la casse du Code du travail s’unissent et bloquent les appétits du Medef.

Le 5 mars 2013, Solidaires, la CGT, la FSU et FO appellent tou-tes les salarié-es du public et du privé à des manifestations et des arrêts de travail contre l'ANI mais aussi pour l'emploi et les salaires.

Un projet de société inacceptable. L’UNIVERSITÉ ET LA RECHERCHE PUBLIQUE FRANÇAISES EN COLÈRE ! (2/3/13)

Assemblée générale du 2 mars 2013. Motion unique adoptée

Ce que la droite a fait, ce gouvernement va l’aggraver !
Comme au Québec, comme en Grande-Bretagne, comme au Chili, les universités françaises sont mises intentionnellement en faillite par une loi, la loi LRU et le seront encore plus par la loi LRU 2 dite loi Fioraso, ce qui entraînera une élévation considérable des droits d’inscription.
Nous refusons la marchandisation de l’éducation, du savoir et de la recherche publique, telle qu’elle s’inscrit dans la stratégie de Lisbonne. Nous refusons la prise de contrôle de l’enseignement et de la recherche par les intérêts particuliers. Nous refusons la disparition des libertés académiques. Lire la suite sur SLU


Un projet de loi ESR toujours inacceptable - IS 27/2/13

Aucun moyen supplémentaire pour résorber la précarité et répondre aux besoins.
Communiqué unitaire sur l’Enseignement Supérieur et la Recherche
Signataires :
- FSU (SNESUP, SNCS, SNASUB, SNEP, SNETAP),
- CGT (SNTRS, CGT INRA, FERC Sup),
- SNPREES-FO,
- Solidaires (Sud Recherche EPST, Sud Education, Solidaires Etudiant-e-s),
- SLR, SLU.
Sont associés à ce texte les collectifs de précaires :
Collectif Aquitain des Contractuels de la Recherche, Collectif contre la précarité Pouchet/CNRS, Collectif contre la précarité EHESS Paris, Collectif de précaires de l’INRA de Versailles, Collectif de précaires du CNRS de Gif-sur-Yvette, collectif de précaires de Toulouse, collectif contre la précarité Marseille.

Présentation du projet de loi sur l'ESR au CNESER du 15/2/13 : déclaration SUD Educ (25/2/13)

Le gouvernement a osé affirmer il y a un an qu’il apporterait le changement. Le projet de loi proposé n’apporte aucun changement de fond, pire il est, dans sa logique, dans la continuité de tout ce que nous avons combattu dans les réformes de Pécresse sous l’ère Sarkozy.
Nous dénonçons (même si certains noms changent, les logiques restent identiques) :
- le management appliqué aux services publics (LOLF) et les objectifs comptable et idéologique de la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) qui sont les leviers du démantèlement du service public ;
- la loi LRU et ses avatars : évaluation bureaucratique tous azimuts (AERES, HCERES), recherche sur projets (ANR),… qui sont les leviers de la destruction de l’enseignement et la recherche publique. Le gouvernement a tenté de maquiller ses projets par des assises qui furent une telle parodie de démocratie qu’il n’ose même plus s’en revendiquer.